






La nature a horreur du vide
L’homme remplit de sa présence les espaces qu’il s’approprie au point de rendre toute autre forme de vie secondaire, presque transparente. Dès lors que cette présence disparaît, elle laisse un tel vide qu’il se produit alors comme une évidence, un ordre immuable des choses ; une réappropriation immédiate de l’espace du vivant par la nature.
(2014) – Série de 14 photographies, encre pigmentaire, 10 exemplaires.